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Acteur dans 57 films

Né(e) le 27 juillet 1917

Lieu de naissance
Prétot-Vicquemare, Seine-Inférieure [now Seine-Maritime], France

Mort le 23 septembre 1970 (à 53 ans)

Bourvil

Acteur dans

2009

  • Bourvil : Bien... si bien

1970

  • Le Cercle rouge
  • Le mur de l'Atlantique
  • L'étalon

1969

  • L'arbre de Noël
  • Gonflés à Bloc
  • Le Cerveau

1968

  • La grande lessive (!)
  • Les cracks

1967

  • Les Arnaud

1966

  • La Grande Vadrouille
  • Trois enfants dans le désordre

1965

  • Les grandes gueules
  • La Grosse Caisse
  • Guerre secrète
  • Le Corniaud

1964

  • La Bonne Planque
  • La grande frousse

1963

  • La Cuisine au Beurre
  • Un drôle de paroissien
  • Le magot de Josefa
  • Les bonnes causes

1962

  • Les culottes rouges
  • Le Jour le plus long

1961

  • Le Tracassin ou les plaisirs de la ville
  • Tout l'or du monde

1960

  • Fortunat
  • Le capitan

1959

  • Le bossu
  • La Jument verte
  • Le Chemin des écoliers

1958

  • Sérénade au Texas
  • Un drôle de dimanche
  • Le miroir à deux faces
  • Les Misérables

1957

  • Le chanteur de Mexico

1956

  • La Traversée de Paris

1955

  • Les Hussards

1954

  • Le fil à la patte
  • Cadet Rousselle
  • Poisson d'avril
  • Si Versailles m'était conté

1953

  • Les 3 Mousquetaires
  • Cent francs par seconde

1952

  • Le trou normand

1951

  • Seul dans Paris
  • Garou-Garou, Le passe-muraille

1950

  • Le rosier de madame Husson
  • Miquette et sa mère
  • Le Roi Pandore

1949

  • Le Cœur sur la main

1948

  • Blanc comme neige
  • Par la fenêtre

1947

  • Pas si bête
  • Studio en folies

1945

  • La Ferme du pendu

1942

  • Croisières Sidérales
Bourvil, de son vrai nom André-Robert Raimbourg, doit son appellation de scène à Bourville, village normand dans lequel il s’installe dès l’âge de trois ans avec sa mère. Adolescent, il commence à travailler comme boulanger, mais le chant le passionne davantage. Il reprend d’abord à son compte le répertoire de Fernandel avant de composer des titres de son propre cru. Monté à Paris avec son épouse, il participe, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, à des radio-crochets, puis, démobilisé en 1940, il écume les cabarets et se fait également connaître sur les ondes de Radio Luxembourg. Sa première apparition marquante au cinéma, il la doit au film La Ferme du pendu (1945) de Jean Dréville, et surtout à la chanson Les Crayons qu’il y interprète benoîtement. Très vite, Bourvil va se retrouver cantonné dans des personnages qui se distinguent par leur gentillesse, leur bonhommie, voire leur naïveté. C’est notamment le cas dans Le Passe-muraille (1951) et Le Trou normand (1952), comédies toutes deux réalisées par Jean Boyer, ainsi que dans des films de cape et d’épée où il peut servir de solide faire-valoir : Les Trois Mousquetaires (1953), Cadet-Rousselle (1954), Le Bossu (1960) ou encore Le Capitan (id.). Mais il est également capable de jolies prestations à contre-emploi : mesquin et oppressant à l’égard de Michèle Morgan dans Le Miroir à deux faces (1958), il est tout aussi fourbe en Thénardier dans la version des Misérables (1957) de Jean-Paul Le Chanois.





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